Collection Escortboy. Comment JAi Débuté ? Saison Ii (5/6)
Tu me prends pour qui, Lauriane, si je force, je te dépucelle !
Et alors je tai fait croire que jétais une pute comme maman voulant se payer son escorte.
Cest mon pucelage que je veux perdre, mes copines dans mon école dinformatique savent que le loup et moi ça fait deux et se fiche de moi.
Je mets des photos de mecs sur le site de maman et jai flashé sur toi.
Quand jai vu ta photo, mon cur sest emballé.
Jai eu un coup de foudre simplement en la regardant.
Je veux que ce soi toi !.
Je suis ravi que cette belle plante semble avoir un béguin pour moi, mais je suis au début dune carrière qui peut me rapporter gros.
En quelques clients et clientes, jai déjà de quoi tenir quelques mois.
Mon appartement aussi, je le kiff et pour un empire, même pour cette beauté, je me vois mal entrer dans une liaison durable.
Je rentre ma bite, mais dans mon pantalon, après avoir reculé mon gland de lentrée de cette grotte qui pour autant semblait vouloir maccueillir.
Reste Célian, sinon je me donne au premier clochard que je rencontrerais.
Chiche.
Ou alors épouse-moi, je te promets de te laisser voir toutes les femmes que tu veux sans jamais être jalouse.
Surtout si tu fais du fric pour notre avenir.
La femme que jépouserais, je laurais choisie et je lépouserais après avoir mis un genou à terre et passer une bague à son doigt.
Ou vois-tu mon genou au sol et un écrin.
Dis à ta maman de venir récupérer les clefs demain, je vais essayer de retrouver mon poulot de livreur.
Je rentre chez moi ou ce qui à ce moment est encore mon chez-moi.
Je passe la nuit à me demander ce qui ma fait peur, la vue si javais dépucelé Lauriane ?
Il est vrai que jai peur des piqures et , mais je suis trop fière pour ladmettre.
Jai eu quelques remords à vendre ma bite, mais les beaux billets quelle me rapporte ont fait taire mes scrupules.
Cest la tête dans le cul comme il est dit que je mapprête à quitter mon logement pour aller à la Sorbonne.
Le téléphone sonne.
Célian, 17 heures à hôtel Excelsior, vous serez avec le smoking blanc.
Bonjour, Lauriane ma demandé de vous demander votre petit nom, jaime votre voix.
Je suis mariée, soyez à lheure, cette cliente a horreur dattendre.
Elle sera au bar de lhôtel.
Alors votre nom ?
Ça recommence, ça coupe.
Lorsque Lauriane remplaçait cette jeune femme, elle avait les mêmes réactions, ce doit être du mimétisme.
Tiens, cette petite pucelle a dû se faire rembarrer par sa mère si elle lui a demandé de me virer.
Jai bien une nouvelle cliente.
Cest normal, Claude sa mère cherchait des mâles dans mon genre très peu nombreux.
Me virer serait mettre à la porte la poule aux ufs dor.
Je suis ponctuel, il faut dire que je suis arrivé dans les parages de lhôtel en taxi et craignant les embouteillages, jai pris une marge de temps, cest mieux.
En face de lhôtel, il y a un bar, jentre dénotant dans mon smoking blanc.
Au bar une fort jolie femme.
Jignore si ma cliente sera aussi jolie que celle-là, sinon je suis prêt à faire une inversion de rendez-vous.
Cette jolie blonde regarde sa montre toutes les trente secondes.
Je commande une menthe à leau.
Je me suis lavé les dents trois fois, passant des petites brosses entre elles avant de finir par un rince bouche afin que ma bouche soit parfaite.
Il serait mal venu si jembrasse une cliente quelle trouve dans sa bouche un petit morceau de salade du midi, ça ferait désordre et surtout peu professionnel.
La blonde qui est en robe de cocktail une étole posée sur ses épaules regarde une nouvelle fois sa montre.
Il vous fait faux bond, cest inadmissible de faire poiroter une si jolie femme, il mériterait des baffes.
De quoi je me mêle, jai rendez-vous à lhôtel Excelsior à 17 heures et il faut que je sois à lheure.
Un instant, jai un doute sur cette femme un peu plus de la trentaine.
Une pute qui va rejoindre un client comme moi, je vais le faire avec la mienne.
Jai moi-même rendez-vous à cette heure, traversons ensemble.
Finissez votre menthe, je vais finir par être en retard.
Je paye sa citronnade et marchant côte à côte, nous empruntons le passage clouté pour entrer dans lhôtel.
Heureux davoir fait votre connaissance, jai rendez-vous au bar.
Moi aussi.
Nous entrons, comme nous tout à lheure, une femme en jupe tailleur est accoudée semblant attendre.
Je vois que vous vous êtes déjà rencontré, voilà nous allons aller dans le petit salon voisin.
Jy donne un cocktail.
Voici vos salaires, inutile de contrôler, il y a vos sommes habituelles.
Sans poser de questions, vous vous promènerez entre mes invités ensemble tous les deux.
Un mot gentil aux uns et aux autres, mais vous jouerez le jeu de lamour lun pour lautre.
Inutile de demander pourquoi, cest votre contrat.
Suivez-moi.
Incroyable, cette jolie femme est une pute comme moi certainement faisant partie de notre agence.
Si cette jolie femme fait partie de lagence, Claude et Lauriane choisissent bien leur personnel.
Nous entrons dans un des salons, une quarantaine, de personnes, sont là, rien que des couples sauf notre hôtesse, bien que.
Elle nous laisse et va rejoindre une jeune femme tenant des documents, certainement sa secrétaire.
Je vais pour parler à ma compagne qui comme moi a son enveloppe de pute quand notre hôtesse passe subrepticement sa main sur les fesses de cette belle plante rousse.
Une rousse, un jour il faudra que jen saute une vraie, là doù je viens, la pharmacienne est rousse.
Il faut dire aussi quelle avait de magnifiques seins quelle nous mettait sous le nez.
Avec les copains, nous allions fréquemment acheter des tablettes pour les dents espérant secrètement quelle nous attire dans son arrière-boutique.
Elle faisait une fortune avec son dentifrice en tablette, mais seul le pharmacien très jaloux était en mesure daffirmer si la chevelure de sa femme était naturelle.
Bonsoir à tous, bienvenue au lancement de mon nouveau parfum.
Mesdames, avant de partir, passez près de cette table au fond de la salle et retirez un flacon pour chacune de vous.
Un lancement de parfum, je vais pour enlacer lescorte quand entre Lauriane accompagné dun petit gros ressemblant à un toutou à sa maîtresse.
Elle commence à discuter avec un couple semblant la connaître.
Une soubrette passe vers elle, elle prend une coupe de champagne oubliant son compagnon.
Elle se retourne vers nous, en une fraction de seconde jenlace ma compagne une main sur ses fesses et je lembrasse dans un baiser langoureux.
Lauriane semble me découvrir et viens vers nous.
Je vois que tu as rencontré Sabrina, Célian.
Vous semblez bien vous entendre, ça fait plaisir.
Je vous présente Rodolphe, cest lhomme de ma vie.
Dis leur que tu maimes.
Oui, ma biche, tu es la prunelle de mes yeux.
Jai une beauté de trente ans dans les bras, ma verge collée à sa chatte et cest cette pucelle qui a dû se le faire ôter par ce vieux beau qui semble me narguer.
Elle me quitte pour aller voir un autre couple.
Viens allons voir Éléonore pour la féliciter de sa création.
Sans un mot et un regard de plus pour moi, elle fend les gens pour sapprocher de notre hôtesse.
Cest drôle que ce soit Lauriane qui nous présente, alors tu es un escortboy.
Et toi Sabrina, une escorte girl.
Nous éclatons de rire et sans savoir pourquoi nous nous embrassons ce qui nous permet de respecter notre contrat.
Un par un, mieux, couple par couple, ils partent, les femmes passant chercher leurs parfums.
À quoi avons-nous servi, je lignore, mais jai passé un bon moment dans les bras de cette blonde à qui ma verge dirait bien deux mots ?
Chez toi ou chez moi Sabrina.
Chez moi, mais seule, je suis mariée et mes s mattendent.
Je fais lescorte de cinq à sept seulement.
Ton mari sait que tu te prostitues.
Ou as-tu vu que je me prostitue, cette enveloppe dans mon sac ou les caresses et baisers que nous avons échangée ?
Un baiser, une verge le long de ma chatte, sont sans importance, ce qui compte ce sont les livrets pour les études de mes s qui mimportent lorsquils seront grands.
Taxi !
Elle lève la main, la voiture sarrête et je vois partir cette femme que jaurais bien couchée sur mon lit.
Étrange soirée, jusquà la présence de Lauriane et de celui dont je suis jaloux.
Quand à mon tour je hèle un taxi, jai le sentiment de jalousie qui me ronge concernant celle que jai refusée.
Qui de Sabrina, Éléonore la créatrice de parfum, voir sa gouine rousse ou Lauriane me manque le plus quand dans mon bain, mon sperme jailli grâce à la pignole que je moffre...
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